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La Valeur de la Vie d’une Personne Radicalisée : Une Perspective de la Faune

Apr 26

Temps de lecture : 3 min

Si les animaux pouvaient parler, ou si nous pouvions véritablement lire dans leur esprit, l’humanité ferait face à un miroir cruel : la prise de conscience que nombre de nos valeurs — pouvoir, idéologie, domination — seraient perçues comme étrangères, et souvent destructrices. En particulier, du point de vue du règne animal, la vie d’un humain radicalisé — qu’il soit politique, religieux ou idéologique — ne serait pas estimée, mais vue comme une source de danger, de déséquilibre et de souffrance.


La Priorité de la Nature : L’Équilibre, Pas la Croyance

Le monde naturel fonctionne sur l’équilibre. Les prédateurs chassent parce qu’ils doivent survivre, non par haine de leurs proies. Les troupeaux migrent non pour conquérir, mais pour se nourrir. Les arbres poussent là où les conditions le permettent, sans avidité ni ambition. En revanche, l’esprit d’un humain radicalisé, obsédé par des idéaux abstraits, la suprématie nationale, le dogme religieux ou le contrôle politique absolu, agit souvent de manière à nuire aux écosystèmes, anéantir la biodiversité et perturber le subtil équilibre dont dépend la vie.


Exemples dans le Monde Actuel

Prenons des figures comme Vladimir Poutine, Jair Bolsonaro, Donald Trump, Benjamin Netanyahou, Nicolás Maduro, Ali Khamenei, Xi Jinping ou Kim Jong Un. Chacun, dans son propre élan idéologique, incarne une vision radicalisée où le pouvoir, le contrôle et la fidélité à une cause étroite éclipsent les réalités plus larges et vitales de la vie.

  • Les guerres de Poutine et sa répression politique ont alimenté la dévastation environnementale en Europe de l’Est.

  • Bolsonaro a supervisé l’accélération de la déforestation de l’Amazonie, s’attaquant directement aux « poumons de la Terre », abritant des millions d’espèces.

  • Trump a saboté les protections environnementales, s’est retiré des accords climatiques mondiaux, et a traité l’avenir de la planète comme une simple monnaie d’échange.

  • Netanyahou, par son militarisme inlassable, contribue à des cycles de destruction transformant des terres fertiles en ruines.

  • Maduro préside à l’effondrement des écosystèmes autrefois riches du Venezuela, au milieu de catastrophes humaines et économiques.

  • Khamenei s’accroche à une idéologie qui tolère la désertification, la sécheresse et l’asphyxie de la faune iranienne.

  • Xi Jinping pousse l’expansion industrielle au prix de l’annihilation des écosystèmes, des habitats sauvages et des espèces indigènes en Chine et au-delà.

  • Kim Jong Un dirige un régime brutal où la vie humaine et non humaine est traitée comme une simple ressource jetable.

Dans tous ces cas, du point de vue animal, l’humain radicalisé n’est pas un être de valeur, mais un agent de mort, de destruction et de peur.


Le Prédateur Qui Tue Sans Faim

Les animaux respectent les prédateurs. Un lion chasse une gazelle, et la gazelle respecte le lion parce qu’elle comprend l’ordre naturel : la faim, la survie, la nécessité. Un humain radicalisé, en revanche, tue sans faim. Il rase des forêts pour ériger des murs, empoisonne des rivières pour tracer des frontières, incendie des paysages pour prouver sa loyauté à un drapeau, un dieu ou une idée. Cette destruction insensée serait incompréhensible — et terrifiante — pour toute créature enracinée dans la sagesse naturelle.


Aucune Valeur Intrinsèque

Du point de vue de la faune, un leader ou un partisan radicalisé n’a aucune valeur intrinsèque. Ils ne sont pas essentiels aux cycles de la vie. Ils ne pollinisent pas. Ils ne nourrissent pas. Ils ne protègent pas. Ils consomment, dominent et dévastent. Un tigre de Sibérie verrait les ambitions géopolitiques de Poutine simplement comme une menace pour sa forêt. Un perroquet d’Amazonie percevrait Bolsonaro comme le destructeur de son arbre. Un ours polaire verrait dans la déréglementation de Trump la fonte de sa banquise. Aucune créature ne pleurerait la perte de tels individus.


Qui Serait Honoré à la Place

Si les animaux pouvaient choisir qui valoriser, ils ne se tourneraient pas vers les puissants, les idéologues ou les radicaux. Ils honoreraient ceux qui restaurent, protègent et respectent la vie. Un garde forestier protégeant un nid en danger, un enfant plantant des mangroves sur une côte meurtrie, un agriculteur pratiquant une agriculture régénérative — voilà les humains qui gagneraient la gratitude silencieuse du monde vivant.


À la Fin, C’est la Nature Qui Se Souvient

L’histoire humaine oublie. Les monuments s’effondrent, les slogans s’effacent. Mais la nature se souvient des cicatrices. La vie des leaders et partisans radicalisés, du point de vue de la faune, n’est pas mesurée par leurs discours ou leurs idéologies, mais par les blessures qu’ils laissent — ou les guérisons qu’ils refusent. Dans le grand registre silencieux de la Terre, ce n’est pas la ferveur radicale qui perdure, mais le besoin silencieux et éternel d’équilibre, de paix et de vie.

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